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El Ali – Restaurant et Café Culturel العلي

 

 

(English version below)

 

El Ali, propriété des Bouhadra, est situé non loin de leur maison familiale. Acquis comme immeuble de rapport, il aurait pu continuer, indéfiniment à être occupé par des locataires que protège le droit au maintien dans les lieux.

 

 

Mais voilà qu’un incendie accidentel survient et change la donne ; El Ali est endommagé, au point de ne plus être habitable et les héritiers de se retrouver avec une ruine ou presque. « Ce fut le déclic » nous avouent-ils. 

 

 

Plutôt que de tout raser, l’idée d’une restauration et d’un projet culturel a germé dans les esprits. Après cinq longues années de travaux et plusieurs découvertes, dévoilant l’histoire architecturale de la maison, celle-ci s’ouvre enfin au public.

 

 

Sa découverte se fait dans un mouvement ascendant. Au premier niveau, une boutique d’artisanat artistique où prédominent les cuivres, produits par la maison dans les ‘Ateliers du roi’, ouverts à la visite.

 

 

Quelques marches conduisent à une cour couverte éclairée par des fenêtres hautes. Les portes à panneaux sculptés, l’étagère qui court sur les quatre côtés et le plafond à solive sont en bois foncé contrastant avec la simplicité des murs clairs. Ce niveau est réservé à la restauration où la cuisine se veut, exclusivement, tunisoise.

 

 

Au niveau suivant s’est installé un confortable café-littéraire, donnant sur une première terrasse que surmonte une deuxième.

 

 

Cette dernière est un véritable balcon sur les toits d’un quartier-charnière entre le centre de la Médina de Tunis et la ville européenne. Deux symboles pointent vers le ciel, d’un côté le minaret de la Grande Mosquée, de l’autre les clochers de la cathédrale, matérialisant ainsi la coexistence pacifique des deux espaces.

 

 

45 bis, rue Jemaâ Zitouna

Tel : +216 71 32 19 27 / +216 22 80 06 95

e-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

English version

 

Restaurant and Cultural Café El Ali العلي

Restaurant and Cultural Café El Ali, owned by the Bouhadra, is located not far from their family home. Acquired as an investment property, it could have continued to be occupied indefinitely by tenants protected by the right to remain in the premises.

 

 

But now an accidental fire breaks out and changes the game; El Ali is damaged, to the point of no longer being habitable and the heirs to end up with a ruin or almost. "It was the click" they admit to us. Rather than razing everything, the idea of a restoration and a cultural project sprouted in people's minds.

 

 

After five long years of work and several discoveries, revealing the architectural history of the house, it is finally opening to the public. Its discovery takes place in an upward movement.

 

 

On the first level, an artistic craft shop where brass predominates, produced by the house in the ‘King's Workshops’, open to visitors.

 

 

A few steps lead to a covered courtyard lit by high windows. The carved panel doors, the shelf that runs on all four sides, and the joist ceiling are dark wood contrasting with the simplicity of the light walls.

 

 

This level is reserved for catering where the cuisine is intended, exclusively, Tunisian.

 

 

On the next level, a comfortable literary café is installed, opening onto a first terrace, which is surmounted by a second. The latter is a veritable balcony over the roofs of a pivotal district between the center of the Medina of Tunis and the European city. Two symbols point to the sky, on one side the minaret of the Great Mosque, on the other the bell towers of the cathedral, thus materializing the peaceful coexistence of the two spaces.

 

45 bis, rue Jemaâ Zitouna

Tel : +216 71 32 19 27 / +216 22 80 06 95

e-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Dar Bach Hamba دار باش حامبة

 

(English version below)

 

Dar Bach Hamba est un palais de la médina de Tunis.

 

 

Considéré comme l'un des plus beaux palais de la ville, Dar Bach Hamba est une demeure bourgeoise dont peu de sources relatent l'histoire.

 

 

Même l'examen des éléments architecturaux, parce que sujets à des changements au cours de l'histoire, ne peut fournir des renseignements sur son historique. Celui-ci semble avoir été construit au XVIIe siècle.

 

 

On attribue sa fondation à la famille Rassa (originaire de Tlemcen et installée à Tunis depuis l'époque hafside). La propriété passe ensuite aux mains de la famille Naccache au XVIIIe siècle puis de la famille Bach Hamba en 1789.

 

 

C'est El Haj Ahmed Bach Hamba qui acquiert, sous le règne d'Hammouda Pacha, la demeure qui en garde son nom jusqu'à nos jours en dépit du fait qu'elle devient plus tard une propriété de la congrégation catholique de Notre-Dame de l'Espérance à la suite d'un achat effectué au profit des franciscaines missionnaires de Marie. Ces dernières en font un dispensaire et l'un des établissements scolaires de la ville de Tunis sous le protectorat français.

 

 

Depuis juillet 2015 s'y trouve le siège de l'association L'Art Rue qui développe des projets artistiques citoyens en articulation avec le territoire. Au sein du palais sont organisés des ateliers d'éveil artistique pour les enfants du quartier, des résidences d'artistes, des colloques, des concerts et la biennale d'art contemporain dans l'espace public, Dream City.

 

 

 

English version

 

 

Dar Bach Hamba دار باش حامبة

Dar Bach Hamba is a palace in the medina of Tunis. Considered one of the most beautiful palaces in the city, Dar Bach Hamba is a bourgeois residence whose history few sources tell.

 

 

Even the examination of architectural elements, because they are subject to changes in the course of history, cannot provide information on its history.

 

This seems to have been built in the 17th century. Its foundation is attributed to the Rassa family (originally from Tlemcen and settled in Tunis since the Hafsid period).

 

The property then passed into the hands of the Naccache family in the 18th century and then of the Bach Hamba family in 1789.

 

It was El Haj Ahmed Bach Hamba who acquired, under the reign of Hammouda Pasha, the residence which kept his name until to the present day despite the fact that it later becomes a property of the Catholic Congregation of Our Lady of Hope following a purchase made for the benefit of the Franciscan Missionaries of Mary. The latter make it a dispensary and one of the educational establishments of the city of Tunis under the French protectorate.

 

 

Since July 2015, the headquarters of the L'Art Rue association has been located there, which develops citizen artistic projects in coordination with the territory. Within the palace are organized artistic awakening workshops for neighborhood children, artist residences, conferences, concerts and the contemporary art biennial in the public space, Dream City.

 

Dar el Médina - Tunis - دار المدينة

 

Le Dar Bellahouane, occupé de génération en génération par la même famille depuis le XVIIIème siècle, décide de suivre l’évolution de la Médina. Celle-ci attire de plus en plus les visiteurs férus de culture depuis son classement sur la liste du patrimoine mondial en 1979. Les visiteurs ne se contentent plus de quelques heures réservées par les agences pour la découverte de ce patrimoine ; ils réclament une immersion totale dans la vie de la Médina. Ce souhait, c’est le Dar Bellahouane, devenu Dar el Médina, qui le leur offre.

 

 

Lorsqu’une famille tunisoise, d’origine turque, ouvre sa paisible demeure à des hôtes, elle le fait dans les règles de l’hospitalité ancestrale, règles perceptibles dès l’accueil. On a aboli la chicane, faite pour filtrer les visiteurs dans l’organisation de la vie patriarcale. 

L’entrée se fait par un couloir clair et agrémenté de verdure, avec une vue en enfilade sur la réception.

A gauche de l’entrée, s’ouvre l’ancien makhzen (magasin à provisions de la famille). La brique des voutes et la pierre des murs s’habillent d’un enduit ocre pour accueillir la salle à manger.

 

 

La cour à ciel ouvert doit sa sobriété à l’élégance de la pierre calcaire (kadhal) du pavement, des encadrements des portes et fenêtres ainsi que des colonnes et chapiteaux de l’étage. Ici, le marbre blanc de Carrare n’a pas réussi à déclasser le kadhal comme partout ailleurs dans les demeures quelque peu riches. Seule la niche abritant la bouche de la citerne est bien en évidence avec son arc à claveaux noirs et blancs.

 

 

Le salon correspond à une ancienne chambre conjugale sachant qu’autour de la cour cohabitaient le père et les fils mariés. Le salon a conservé une belle frise en plâtre sculpté dont la blancheur éclatante contraste avec la polychromie du plafond en bois peint.

Les dames, jadis, s’activaient dans la cuisine commune sous l’œil vigilant de la belle-mère. L’espace, aménagé aujourd’hui en café maure, est méconnaissable. Des banquettes couvertes en tapis en « flig » (tissage des tentes de nomades) et une profusion de coussins aux couleurs douces invitent au repos.

Les chambres des hôtes, au nombre de douze, se répartissent autour de la cour principale et d’une deuxième cour à l’étage. Celle-ci présente un ingénieux calepinage au sol, fait d’un patchwork de vieux carreaux polychrome. 

 

 

Les chambres sont si différentes qu’il est difficile de donner sa préférence à l’une au détriment de l’autre. Chacune a son plan, sa décoration, sa lumière et son ambiance.

On ne peut pas quitter le Dar el Médina sans profiter de la superbe vue panoramique offerte par ses terrasses.

 

 

La petite histoire : La chambre conjugale

La chambre est l’équivalent d’un appartement. Bien que d’un seul tenant, elle répond à diverses fonctions. 

Face à l’entrée, un défoncement, le « qbou » est meublé de trois banquettes en U ; il est réservé à la réception. 

 

 

A droite et à gauche de l’entrée se prolongent les côtés de la pièce dont chaque extrémité ou « tarkina » est meublée par un grand lit qui occupe toute la largeur de la pièce. Il est surmonté par un ciel de lit et est fermé, en partie, par un devant de lit en boiserie finement ouvragée peinte ou ouvragée et dorée. Il apparait ainsi comme un écrin douillet et richement tapissé. La garniture est constituée d’un matelas bourré de laine, de trois traversins et de plusieurs coussins. Les murs, sur les trois côtés, sont tapissés d’un riche « hayti », tentures de soie, garnies d’applications en couleur qui protègent du contact froid des faïences murales. Les deux « maksoura » (chambrettes) flanquant l’alcôve salon sont réservées aux enfants ou simplement comme espace de rangement.

 

 

Cette chambre polyvalente, utilisée à la fois comme salon, chambre des parents et chambre des enfants, portait le nom de la mère de famille qui l’occupait et qui en était, symboliquement et de fait, la maîtresse. Ainsi autour de la cour sont désignées les chambres. 

 

 

Le Dar el Médina perpétue cette tradition qui honore la femme en donnant à ses chambres des prénoms féminins puisés dans le répertoire d’antan ; elles s’appellent Douja, Daddou, Fafani ou Bibi…(Source: http://www.medinatunis.com/index.php/fr/palais-et-grandes-demeures/dar-el-medina)

 

Contact:

64 Rue Sidi Ben Arous
Tunis 1006

Tel: (+216) 71 563 022

e-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Site web: http://www.darelmedina.com/en/home-2/

 

English version

 

Dar el Médina - Tunis - دار المدينة

 

Dar Bellahouane, occupied from generation to generation by the same family since the 18th century, decides to follow the development of the Medina.

 

It attracts more and more visitors keen on culture since its classification on the world heritage list in 1979.

 

Visitors are no longer satisfied with a few hours set aside by the agencies for the discovery of this heritage; they demand a total immersion in the life of the Medina.

 

This wish is offered to them by Dar Bellahouane, now Dar el Médina.

 

When a Tunisian family of Turkish origin opens their peaceful home to guests, they do so in accordance with the rules of ancestral hospitality, rules that can be seen from the reception. We have abolished the chicane, made to filter visitors in the organization of patriarchal life.

 

The entrance is through a bright corridor decorated with greenery, with a view in a row on the reception. To the left of the entrance is the old makhzen (family grocery store). The brick vaults and stone walls are dressed in an ocher plaster to accommodate the dining room.

 

The open-air courtyard owes its sobriety to the elegance of the limestone (kadhal) of the pavement, the frames of the doors and windows as well as the columns and capitals upstairs. Here, the white Carrara marble has failed to downgrade the kadhal like anywhere else in the somewhat wealthy mansions. Only the niche housing the mouth of the cistern is clearly visible with its arch with black and white keystones.

 

The living room corresponds to a former conjugal bedroom, knowing that the married father and sons cohabited around the courtyard. The living room has retained a beautiful frieze in sculpted plaster, the dazzling whiteness of which contrasts with the polychromy of the painted wooden ceiling. The ladies used to bustle in the common kitchen under the watchful eye of the mother-in-law. The space, now converted into a Moorish café, is unrecognizable. Benches covered with "flig" rugs (weaving nomadic tents) and a profusion of cushions in soft colors invite you to rest.

 

The guest rooms, twelve in number, are distributed around the main courtyard and a second courtyard upstairs. This presents an ingenious layout on the floor, made of a patchwork of old polychrome tiles.

 

The bedrooms are so different that it is difficult to give preference to one over the other. Each has its plan, its decoration, its light and its atmosphere. You cannot leave Dar el Médina without enjoying the superb panoramic view offered by its terraces.

 

The little story:

The conjugal bedroom The bedroom is the equivalent of an apartment. Although in one piece, it serves various functions. Opposite the entrance, a knockout, the "qbou" is furnished with three U-shaped benches; it is reserved at the reception. To the right and left of the entrance are the sides of the room, each end of which or "tarkina" is furnished with a double bed that occupies the entire width of the room. It is surmounted by a canopy and is closed, in part, by a finely crafted painted or ornate and gilded woodwork bed front. It thus appears as a cozy and richly upholstered setting. The filling consists of a mattress stuffed with wool, three bolsters and several cushions. The walls, on all three sides, are lined with a rich "hayti", silk hangings, trimmed with colored applications that protect from the cold contact of the wall tiles. The two "maksoura" (small bedrooms) flanking the living room alcove are reserved for children or simply as storage space. This versatile room, used both as a living room, parents' bedroom and children's bedroom, was named after the mother of the family who occupied it and who was, symbolically and in fact, its mistress. Thus around the courtyard are designated the rooms.

 

The Dar el Medina perpetuates this tradition which honors women by giving its rooms female first names taken from the repertoire of yesteryear; they are called Douja, Daddou, Fafani or Bibi ... (Source: http://www.medinatunis.com/index.php/fr/palais-et-grandes-demeures/dar-el-medina)

 

Contact:

64 Rue Sidi Ben Arous 
Tunis 1006

Tel: (+216) 71 563 022

e-mail: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Site web: http://www.darelmedina.com/en/home-2/

Dar Ben Achour دار بن عاشور 

 

(English version below) 

 

Dar Ben Achour est un palais de la Médina de Tunis. Il fut occupé par Mohamed el Aziz Bouattour dont l’accès au grand vizirat marque un tournant dans l’histoire de cette charge qui, depuis l’avènement des turcs, a été exclusivement réservée aux mamlouks (Sahib el Tabaa, Khaznadar, Kheireddine…).

 

 

La famille Bouattour est originaire de Sfax, Mohamed el Aziz fut Grand Vizir de 1882 à 1907. Il faut croire que ses services furent tellement appréciés par les souverains husseinites qu’il fût inhumé dans leur propre « tourbet » (Mausolée), Tourbet el Bey.

 

 

Héritée par Mohamed Tahar Ben Achour de son aïeul maternel, la demeure fut occupée par les Ben Achour jusqu’à leur installation définitive dans leur résidence d’été à la Marsa. Mohamed Tahar et, dans une moindre mesure, son fils Mohamed el Fadhel étaient d’éminents érudits dont les travaux ont marqué la pensée islamique moderne.

Dar Ben Achour abrite aujourd’hui la Bibliothèque de la Ville de Tunis.

 

 

Après une entrée en chicane, la cour principale présente deux galeries superposées, formées de trois arcs sur colonne en « kadhal » à fut galbé et chapiteaux à volutes.

 

 

Dans la deuxième cour, ancienne cour de service, les murs s’enrichissent d’un carreau bleu sur fond ivoire qui joue harmonieusement entre la ligne géométrique et la volute du motif floral.

 

 

Les chambres sont à « qbou » et « maksoura » des plus classiques : murs lambris de carreaux de céramique, surmontés d’une large frise de « naqch hdida ». Les plafonds en bois sont tantôt à caissons peints de fleurs ou de rosaces entrelacées, tantôt à solives apparentes.

 

 

Dans les anciennes chambres s’organise la vie de la bibliothèque : rayonnages, fichiers, salles de lecture, salle de réunion…

 

 

Dans l’une d’elle se trouvent deux portraits en hommage aux illustres défunts : Mohamed Tahar et Mohamed el Fadhel Ben Achour.

 

 

(Source:http://www.medinatunis.com/index.php/fr/palais-et-grandes-demeures/dar-ben-achour)

 

English version 

 

Dar Ben Achour now houses the Library of the City of Tunis.

 

After a chicane entrance, the main courtyard has two superimposed galleries, made up of three arches on a “kadhal” column with a curved column and volute capitals.

 

 

In the second courtyard, a former service courtyard, the walls are enriched with a blue tile on an ivory background which plays harmoniously between the geometric line and the volute of the floral motif. The rooms are of the most classic "qbou" and "maksoura": walls paneled with ceramic tiles, topped with a large frieze of "naqch hdida".

 

 

The wooden ceilings are sometimes coffered painted with flowers or intertwined rosettes, sometimes with exposed joists. Library life is organized in the old rooms: shelves, files, reading rooms, meeting room ...

 

 

In one of them are two portraits in tribute to the illustrious deceased: Mohamed Tahar and Mohamed el Fadhel Ben Achour.

 

(Source: http: //www.medinatunis.com/index.php/fr/palais-et-grandes-demeures/dar-ben-achour).

Dar Ben Ammar - Tunis دار بن عمار

 

(English version below)

 

De grands travaux, commencés en 1993, ont adapté la demeure familiale des Ben Ammar à sa double fonction actuelle.

 

 

Espace intellectuel de rencontre et de réflexion, sous le nom de Collège International de Tunis, elle est aussi un espace résidentiel pour la famille et les invités, reçus dans le cadre des activités du Collège. Les deux fonctions trouvent aisément leur place car la demeure est organisée autour de deux cours occupant deux niveaux indépendants.

 

 

La cour inférieure, où poussent orangers, bananiers et autres plantes grimpantes et ornementales autour d’une vasque en marbre, est l’espace « public ». Elle dessert une salle de conférence modulable, pouvant accueillir jusqu’à 80 personnes et des salles de réunions plus restreintes. Cour et salles ont conservé leurs revêtements muraux diaprés.

 

A l’étage, autour d’une cour couverte, se distribuent le bureau de la maîtresse des lieux, les chambres familiales et les chambres des hôtes. Les invités sont en fait les conférenciers et les écrivains, venus du monde entier, invités par le Collège. Une occasion unique leur est offerte : celle de vivre dans l’intimité et la sérénité de la maison introvertie, si propice à la méditation. Ici la lumière centrale est compensée par l’ouverture des pièces sur des jardins latéraux, la transparence sur la verdure est d’un bel effet. (Source: http://www.medinatunis.com/index.php/fr/palais-et-grandes-demeures/dar-ben-ammar).

 

 

English version

 

 

Dar Ben Ammar - Tunis Major works, begun in 1993, have adapted the Ben Ammar family home to its current dual function.

 

An intellectual space for meeting and reflection, under the name of the International College of Tunis, it is also a residential space for families and guests, received within the framework of the College's activities.

 

The two functions easily find their place because the house is organized around two courtyards occupying two independent levels.

 

The lower courtyard, where orange trees, bananas and other climbing and ornamental plants grow around a marble basin, is the "public" space. It serves a modular conference room, which can accommodate up to 80 people, and smaller meeting rooms. Courtyard and rooms have retained their variegated wall coverings.

 

Upstairs, around a covered courtyard, are distributed the office of the hostess, family rooms and guest rooms. The guests are in fact the lecturers and writers, from all over the world, invited by the College. A unique opportunity is offered to them: that of living in the privacy and serenity of an introverted home, so conducive to meditation. Here the central light is compensated by the opening of the rooms onto side gardens, the transparency on the greenery is a beautiful effect. (Source: http://www.medinatunis.com/index.php/fr/palais-et-grandes-demeures/dar-ben-ammar)

 

 

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